L'église INSCRIPTION A U-DESSUS DE LA CLEF DE VOUTE DU GRAND PORTAIL Cette inscription rappelle les travaux de reconstruction de la nef de Malay Le Roi, travaux dont l’adjudication ordonnée par Conseil d'Etat furent exécutés, moyennant 3480 lires, par Nicolas RABIER, Etienne NA GET et Pierre LOISEA U. Le 25 Mai 1822 : refonte de la cloche à la Chapelle-sur-Oreuse. Le 11 Juin suivant, la dite cloche a été bénie par Mr GONDOIN, desservant de Malay Le Vicomte et Malay le Roi. Elle a eu pour parrain Mr FAUVELET de BOURRIENNE, ministre, et pour marraine Charlotte BOURRIENNE. 1871 : l'église ne possède aucun chantre ; le Conseil admet l'instituteur qui se présente. 1893 : jusqu'à ce jour, le garde-champêtre recevait dans sa maison "les voyageurs indigents” : le conseil municipal décide de construire un logement sur le côté de l'église. Devant l'église, un sycomore ou érable a été planté sous Sully . On parlait de cet arbre dans les guides touristiques tellement il était grand. Il a été abattu aux environs de 1952-1955 (Sully a été ministre de l'agriculture en 1600) : l'arbre avait 350 ans quand il a été coupé. Aux dires de plusieurs habitants du village, il fallait être trois personnes - bras tendus - pour en faire le tour et 25 stères de bois ont été débités. Il a été abattu car il devenait dangereux pour les habitants et la population. |
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L’abreuvoir et le lavoir Le 27 juillet 1848, procès-verbal contre le Sieur Fontaine, propriétaire, demeurant à Mâlay-le-Roi pour avoir déposé des pieux aux deux extrémités du gué ou abreuvoir situé dans l’intérieur de la commune, à l’ouest de la fabrique de clous, au midi et au pied de la route royale de Paris à Genève. |
L'usine Construite de 1873 à 1875 à l’emplacement d’un ancien moulin, l’usine élévatoire de Malay le Petit a pour but de refouler dans l’aqueduc de la Vanne une partie des eaux de sources dites « basses », car situées à un niveau trop faible pour être admises directement dans l’ouvrage. Mise en service le 14 Avril 1875, elle utilise au moyen d’une roue à aubes type « Sagebien », la force motrice de la rivière Vanne au droit d’une chute, pour actionner deux pompes à pistons horizontales à double effet.
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